Fin de semaine, je peux mieux faire….

Publié le par elizabeth971

Nous sommes vendredi. La semaine se termine. Une semaine pas très bien gérée peut-être parce que le week-end (dernier) était mal géré, désordonné. Je n’ai rien fait d’intéressant pendant le week-end : un peu avancé mon tableau (à peine), prêté ma voiture samedi jusqu’à lundi après-midi, dormi une bonne partie de la journée de dimanche, pas vraiment regardé mon livre « The artist’s way » et décidé de redoubler ma semaine onze.

 

Qu’ai-je fait durant la semaine en dehors d’aller à mon travail et à mon deuxième travail ? Pris le bus lundi matin et fait une bonne partie de la route à pied depuis Basse-Terre parce que le bus n’avait pas d’arrêt entre Basse-Terre et Gourbeyre, récupéré ma voiture lundi après-midi, dormi tous les soirs à partir de neuf ou dix heures jusqu’à quatre ou cinq heures du matin, vu une étoile filante jeudi matin et essayé de faire un vœu… Et voilà que nous sommes déjà vendredi et que je me dis « pourvu que je passe un bon week-end ! (et surtout, j’espère bien avancer mon tableau des trois cocotiers) ».

 

Mais le week-end passe vite et la semaine ne laisse que peu de temps pour faire autre chose que « auto boulot dodo ».

 

J’ai pourtant trouvé un moment pour moi. J’y réfléchissais ce matin en écrivant mes « morning pages » dans la voiture en attendant l’ouverture des portes de mon service. Cette heure d’attente entre six heures et sept heures, elle est toute à moi ! Je peux y faire ce que je veux. J’ai commencé à dessiner sur mon cahier de morning pages la Soufrière que j’aperçois depuis le petit chemin où je gare ma voiture. Le paysage est joli et je pourrais travailler tous les matins un petit tableau de la Soufrière. D’abord, préparer une feuille de papier ou une chemise en bristol et des crayons de couleur ou des pastels et laisser ce petit matériel dans la voiture et  continuer mon tableau tous les matins. La Soufrière est souvent dégagée en ce moment et faire ce travail serait un objectif agréable pour mes matinées.

 

Et quand la route de Rivière Sens sera ouverte, pourquoi ne pas garder cet horaire matinal pour avoir le temps, entre cinq heures et demie et sept heures, non seulement d’écrire mes morning pages et de dessiner la Soufrière mais aussi de marcher pendant vingt ou trente minutes ?

Publié dans spiritualité

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