et surtout, du bonheur !
Hier, j'ai rencontré un de mes meilleurs amis. Comme tous les ans, à la même époque, nous nous sommes souhaité la bonne année et comme tous les ans, à la même époque, nous nous sommes disputés sur ce que nous devons nous souhaiter mutuellement. En Guadeloupe, c'est surtout "la santé d'abord" qu'on dit au premier de l'an et ça m'énerve et je réponds toujours que sans l'amour, sans l'argent, on ne conserve pas sa santé. On me répond (c'est, une fois de plus ce que m'a répondu mon ami) que sans la santé, on n'a rien (oui, c'est logique). Je réponds encore une fois que, par exemple, pour avoir de bonnes lunettes, il faut avoir de l'argent et que sans argent, donc, on n'a pas la santé. Je crois que mon ami n'a pas écouté mon argument. De toute façon, nous étions pressés, on a vite demandé des nouvelles de nos familles et on est partis, chacun de son côté.
Bien. Je ne m'en sortirai pas, dans cette histoire de voeux de bonne année si j'en fais toujours un débat qui ressemble à l'oeuf et la poule.
N'empêche qu'il n'est pas très joyeux ce "la santé d'abord", pas joyeux du tout. J'ai pris, hier, en stop, un jeune lycéen qui m'a souhaité tout un tas de trucs agréables et ça m'a fait sourire et ça m'a donné envie de lui en souhaiter autant et ça a mis de la bonne humeur dans la voiture.
Comme chaque année, j'ai longuement réfléchi à cette histoire de voeux car c'est quand même important, les voeux, c'est peut-être même ce qu'il y a de plus important au monde. Bien sûr, souhaiter la santé à quelqu'un, c'est en quelque sorte lui souhaiter de ne pas mourir, de vivre dans de bonnes conditions.... Vie ou survie ?
Il y a quand même un mot qui est bien plus agréable que le mot "santé", un mot qu'on utilise beaucoup dans la spiritualité (je ne parle pas là de religion mais de spiritualité, encore une distinction sur laquelle on pourrait passer beaucoup de temps). Ce mot, donc, c'est le "bonheur".
Je vous souhaite à tous beaucoup de bonheur, les amis, le plus de bonheur possible.
Bien. Je ne m'en sortirai pas, dans cette histoire de voeux de bonne année si j'en fais toujours un débat qui ressemble à l'oeuf et la poule.
N'empêche qu'il n'est pas très joyeux ce "la santé d'abord", pas joyeux du tout. J'ai pris, hier, en stop, un jeune lycéen qui m'a souhaité tout un tas de trucs agréables et ça m'a fait sourire et ça m'a donné envie de lui en souhaiter autant et ça a mis de la bonne humeur dans la voiture.
Comme chaque année, j'ai longuement réfléchi à cette histoire de voeux car c'est quand même important, les voeux, c'est peut-être même ce qu'il y a de plus important au monde. Bien sûr, souhaiter la santé à quelqu'un, c'est en quelque sorte lui souhaiter de ne pas mourir, de vivre dans de bonnes conditions.... Vie ou survie ?
Il y a quand même un mot qui est bien plus agréable que le mot "santé", un mot qu'on utilise beaucoup dans la spiritualité (je ne parle pas là de religion mais de spiritualité, encore une distinction sur laquelle on pourrait passer beaucoup de temps). Ce mot, donc, c'est le "bonheur".
Je vous souhaite à tous beaucoup de bonheur, les amis, le plus de bonheur possible.